Les techniques d’imagerie avancées (scintigraphie, Imagerie par Résonance Magnétique Nucléaire – IRM et scanner) se développent en médecine vétérinaire grâce aux progrès technologiques et à la mise au point d’équipements dédiés permettant la réalisation d’examens sur cheval debout tranquillisé. Ces techniques de pointe apportent une capacité diagnostique essentielle pour la prise en charge optimale des maladies équines et le suivi

Le cheval, animal noble par excellence, est soigné depuis la nuit des temps et nous disposons d’un très important corpus d’écrits remontant jusqu’aux premiers siècles de notre ère. Christophe Degueurce, directeur de l’École nationale vétérinaire d’Alfort (EnvA), présentera les grandes étapes qui ont marqué l’Histoire de la médecine et de la chirurgie des chevaux.

Présentation de cette bibliothèque numérique gratuite, née d’une grande campagne d’inventaire bibliographique et documentaire sur le cheval, les courses et l’équitation, à l’initiative de l’Université de Caen.

L’autopsie se définit en premier lieu comme un examen post-mortem pour déterminer la cause de la mort mais elle présente de nombreux autres intérêts. Les autopsies permettent d’alerter et de protéger en identifiant des maladies constituant un risque pour le reste de l’effectif ou pour la carrière reproductrice d’une poulinière. Les autopsies aident à comprendre une mort subite ou inattendue,

Le vétérinaire en chef du 23ème groupe vétérinaire en gendarmerie de Paris réalisera une présentation de la Garde Républicaine, de son service vétérinaire, et de ses liens de coopération avec l’École nationale vétérinaire d’Alfort (EnvA) dans le cadre de cette journée « portes ouvertes » à destination du grand public.

L’état des sources équestres donnent du fil à retordre pour établir une histoire de l’équitation féminine, tant le XIXe siècle a imprimé sa patte. Nous allons tenter de répondre à de simples préoccupations pragmatiques comme : Quel était l’état des chemins et quid des aléas météo ? Quel type de cheval était employé, avec quels harnachements ? Comment étaient vêtues

Malgré les bienfaits reconnus du pâturage en groupe, celui-ci entraîne inéluctablement l’infestation des équidés par des parasites digestifs. Les ascarides (Parascaris spp.), les petits strongles (ou cyathostomes) et les ténias (anoplocéphales) sont les parasites les plus fréquemment observés et les plus pathogènes. En France, 94% des détenteurs d’équidés utilisent des vermifuges pour contrôler le niveau d’infestation de leurs animaux par ces parasites digestifs. Malheureusement, une utilisation trop fréquente

Cette conférence sur l’asthme équin sera l’occasion d’aborder la prise en charge diagnostique ainsi que la gestion thérapeutique, tant environnementale que médicale, de cette maladie pulmonaire inflammatoire chronique.